Serge TANGUY 
Thérapeute Humaniste en Bretagne - Eveilleur de Conscience
Créateur de la méthode @Universalithée
Magnétiseur - Auteur

La Thérapie Humaniste Energétique Existentielle


    Le terme de Thérapie Humaniste Énergétique Existentielle est inconnue du grand public, c’est logique car c’est une nouvelle pratique que j’ai créée, elle s’appuie sur plusieurs approches, telles que :

  • l’approche occidentale de la médecine ;
  • l’approche orientale de la médecine ;
  • la philosophie de la psyché de l’individu.

 

      Voilà les trois axes de cette pratique, qui tient compte de l’ensemble des éléments qui la constitue. Tout comme chacun de nous est constitué de trois parties formant un tout - notre être.

  • l’esprit ;
  • le corps ;
  • l’âme.

 

     Cette pratique s’inspire de la philosophie que pratiquaient les grecs en leur époque, je me suis inspiré de trois philosophes :

  • Socrate,
  • Platon
  • Aristote.

 

      Leurs enseignements furent riches de révélations pour moi, j’y ai trouvé de nombreuses réponses. J’ai fini par effectuer des traits d’union entre toutes ces approches, vous en tirerez vos propres conclusions une fois que vous aurez lu cet ouvrage. Ne pouvant plaire à tout le monde, je sais par avance que certains y verront des solutions idoines applicables au quotidien, tandis que d’autres n’y verront qu’un patchwork d’élucubrations d’un esprit qu’ils vont considérer comme dérangé. Chacun de nous, y trouvera malgré tout des réponses, en effet il est facile de critiquer sur tel ou tel point mais êtes-vous capables de faire pareil et de l’exposer au monde ? Je suis convaincu que non, mais je vous remercie par avance pour vos désaccords car ils me permettront je suis convaincu d’y voir un angle de vue que je n'avais pas encore abordé. En partant de ce principe de trait d’union, en reprenant les trois parts de notre être (corps, esprit et âme), avec les différentes approches de la Thérapie Humaniste Existentielle Énergétique, j’en ai tiré les liens suivants :

  • l’esprit correspond à l’approche occidentale de la médecine ;
  • le corps correspond à l’approche orientale de la médecine ;
  • l’âme correspond à la philosophie de la psyché de l’individu.

 

      Nous allons aborder les différents aspects de ces approches pour mieux comprendre mon analyse. Il existe une différence entre l’approche occidentale et l’approche orientale en ce qui concerne la médecine. Médecine occidentale et médecine traditionnelle chinoise adoptent deux démarches fondamentalement différentes. Pourtant, voisines, ces deux médecines pourraient trouver des convergences, notamment dans le traitement de maladies chroniques et/ou lourdes. La médecine occidentale : Depuis des décennies, la médecine occidentale s’appuie sur la science matérialiste, laquelle utilise le paradigme de la preuve matérielle. Cette démarche a été à la base de ses plus grands succès mais aussi la cause de certains échecs et une de ces principales limites. Malgré des avancées très remarquables de la médecine occidentale, sa posture me semble inappropriée car elle opère des dissociations entre :

  • La maladie et le malade ;
  • Le malade et son corps (entre les différents constituants du corps) ;
  • L’individu et le social ;
  • L’individu et l’univers.

 

 La médecine occidentale analyse les maladies d’un point de vue statistique :

 

  1. La maladie et le malade - Elle considère la maladie comme venant de l’extérieur pour agresser l’individu et non pas comme venant de l’intérieur. Cette dissociation est paradoxale car on dissocie tout en appelant l’individu par sa maladie. A titre d’exemple, dans les hôpitaux, on va examiner un diabète et non un individu.
  2. Le malade et son corps - La médecine occidentale divise le corps humain comme si elle disséquait l’être humain par services hospitaliers, en étant indifférente à l’individu ; le corps étant considéré comme une machine composée de différentes pièces (organes) que l’on peut changer.
  3. L’individu et le social - La médecine occidentale ne tient pas compte du fait que les maux et les maladies que l’individu porte peuvent être provoquées par des conséquences sociales (contrariétés liées au travail ou au stress).
  4. L’individu et l’univers – La médecine occidentale ne tient pas compte des croyances ; par exemple, la mort est considérée comme un échec.

 

     La médecine occidentale va prendre en charge une maladie et non un malade. Elle s’occupe de traiter les effets sans forcément rechercher les causes pouvant résider dans l’environnement de l’individu, dans son histoire, dans ses croyances, dans ses désirs, ou encore dans ses angoisses. Elle ne se préoccupe pas du tout ou trop peu de la dimension symbolique de l’homme.

     Ce que la médecine moderne occidentale semble découvrir depuis peu, les anciens Taoïstes en étaient parfaitement conscients. La pensée Taoïste originelle est née lors de la période post-néolithique (le néolithique = âge de la pierre polie, entre 9000 et 3300 ans avant J.-C) dans une période nébuleuse faite d’inspirations et de rencontres relatées, réelles et légendaires. D’après les taoïstes, le corps humain est régi par deux cerveaux : le cerveau cérébral et le cerveau viscéral. D’après leurs connaissances, l’activité du système nerveux serait principalement liée à la région abdominale et dans une moindre mesure au cerveau cérébral. Philippe Sionneau précisait que : « La France étant un pays hyper médicalisé, les patients sont donc très exposés aux limites de la médecine conventionnelle et aux effets secondaires des médicaments. C'est ce qui explique en partie l'intérêt grandissant pour la médecine traditionnelle chinoise en Occident » .

     Au lieu de compartimenter le corps, l’approche de la médecine traditionnelle chinoise privilégie une vision holistique et relie chaque organe à une émotion particulière. A titre d’exemple, les problèmes de rate seraient en lien avec le souci et la rumination, le foie avec la colère et les reins avec la peur.

 

La médecine traditionnelle chinoise :

 

     La médecine traditionnelle chinoise traite l’ensemble du corps humain pour rétablir notre équilibre, le chi à travers les plantes. On est loin de la pureté exigée dans l’industrie pharmaceutique occidentale. La philosophie Taoïste considère que les véritables émotions s’expriment au niveau du plexus solaire et non dans le cerveau cérébral. En effet, ce dernier ne fait qu’enregistrer l’expression d’une émotion. Lorsque les organes ne fonctionnent pas de façon optimale, l’organisme entier souffre et les informations que le cerveau cérébral reçoit deviennent plus floues et confuses. D’après cette philosophie, cela aurait pour conséquence d’obscurcir la sagesse du ventre et l’intelligence du cœur.

     Selon cette pensée taoïste, la perception et la génération des émotions sont des fonctions situées dans la région abdominale et plus précisément au niveau du plexus solaire. Des émotions négatives telles que la tristesse, l’anxiété, la colère ou la peur, si elles sont trop souvent déclenchées deviennent des pathologies chroniques. Elles vont provoquer des blocages énergétiques très mauvais pour la santé. Le même préjudice peut être dû à des interventions chirurgicales, des accidents physiques, à la consommation de drogue ou la prise de certains médicaments. Le stress quotidien, un choc affectif soudain ou brutal, mais aussi une alimentation médiocre, ou bien le maintien d’une mauvaise posture corporelle peuvent engendrer des souffrances.

     Le plexus solaire est en lien avec tous les organes de la région abdominale. Ainsi, lorsqu’il fonctionne bien, les organes ne souffrent ni de tensions ni de stress. Malheureusement, lorsque l’équilibre est rompu, les problèmes vont se faire sentir.

    Selon la pensée taoïste, cet équilibre est perturbé lorsque nous refoulons nos émotions car notre cerveau cérébral va prendre le dessus au détriment du cerveau viscéral. Vouloir renier nos émotions revient à perturber l’harmonie du plexus solaire et entraîne un déséquilibre dans le fonctionnement des organes. La pensée de la médecine traditionnelle chinoise considère que le cerveau situé dans notre boîte crânienne est le siège de l’esprit et des fonctions supérieures de l’homme. Le thorax, lui, abrite l’âme, tandis que le ventre serait plutôt celui des appétits grossiers. Nous-même connaissons des expressions de la vie courante comme « avoir la peur au ventre » , « avoir l’estomac noué » , ou « digérer une information » , elles en disent long sur la manière dont nous percevons les informations.

   L’approche orientale du fonctionnement du corps humain se réfère à différents niveaux d’interprétation, comme l’énergie et les émotions. Telle est la subtilité de la pensée de la médecine chinoise. Ainsi, le rôle des organes est associé à une saison, à une saveur, à un élément et à une qualité. D’après cette pensée, l’estomac est un lieu de transformation, l’intestin grêle un lieu de réception et de purification, et le gros intestin un lieu de transmission et d’élimination. Ces processus ne sont pas que chimiques, ils sont principalement énergétiques. En médecine chinoise, les pathologies digestives sont interprétées ainsi :

 

  • L’intestin grêle récolte et fait prospérer ce qui vient de l’estomac sous l’action du feu du cœur, sinon on assiste à des angoisses, des insomnies, des problèmes de concentration ainsi que des difficultés digestives.
  • La rate joue un rôle important et régit les passages à l’acte reliant la pensée, le sens et l’intention. Si nous ne passons pas à l’acte, ou que nos actes ne sont pas en harmonie avec nos pensées, cela va générer une défaillance dans le fonctionnement optimal de cet organe et peut alors entraîner des lourdeurs, des ballonnements ou des brûlures digestives, qui seront le reflet de nos ruminations.
  • La vésicule biliaire est l’organe de la décision, celle qui est à l’origine du commencement et de l’action. Ainsi, les personnes qui ont souvent du mal à démarrer le matin souffrent de problèmes de vésicule.
  • Le foie est le général des armées, il régule les agressions digestives, il est associé à la colère. C’est l’organe du printemps, de l’extériorisation, de l’ascension et de la créativité. C’est pourquoi les gens qui sont bloqués dans leur imaginaire présentent souvent des problèmes de foie avec des reflux, des nausées, des vomissements ou des crises de foie.
  • Enfin, le gros intestin est associé aux poumons. Un déséquilibre de ces deux organes peut se manifester par de la tristesse.

 

     Ces éléments prennent une toute nouvelle dimension au vu des nouvelles découvertes scientifiques qui élèvent l’intestin et son microbiote au rang de deuxième cerveau dans l’approche de la médecine occidentale. Il existerait donc des liens entre nos émotions et nos intestins. Les scientifiques nous montrent que le cerveau dans notre boîte crânienne n’est pas le seul maître à bord. Ils nous expliquent que les millions de neurones de notre ventre et les centaines de milliards de bactéries avec lesquelles nous vivons en symbiose, influencent nos émotions et notre personnalité. Le documentaire « le ventre, notre deuxième cerveau » de Cécile Denjean apporte une explication à laquelle j’adhère.

Les chercheurs émettent la théorie que tout est énergie, y compris nous-même. Toutefois à ce jour, l’invisible représente encore 99 % de l’univers connu, ce qui ouvre le champ de possibilités de façon considérable. Ceci explique encore à ce jour la différence d’approche entre la médecine occidentale et orientale. Ce que nous semblons découvrir en occident, la médecine chinoise l’a comprise, à travers l’étude des méridiens d’acupuncture, laquelle permet de percevoir une partie de notre corps énergétique de façon interne. Les méridiens ne sont en revanche qu’une partie d’un système plus vaste qui comprend, entre autres, la présence de chakras et de canaux de perceptions extra sensoriels. La médecine tibétaine identifie 72 000 canaux. L’approche de la médecine orientale nous indique que cette partie sous-estimée mériterait plus d’attentions.

 

La philosophie de la psyché de l’individu :

 

     Il reste la partie philosophique de cette méthode qui s’appuie sur la psyché de l’individu, à la fois :

  • dans l’approche cartésienne occidentale ;
  • dans l’approche énergétique orientale ;
  • dans l’approche philosophique et métaphysique de l’individu.

 

      Nous avons déjà abordé les deux premiers points, intéressons-nous maintenant à l'individu et à sa psyché. Le mot individu vient du latin « individuum», (ce qui est indivisible). Son équivalent en grec est donc « átomos », (insécable, non coupé), soit atome en français.

      Malheureusement, il est à constater que le terme d’individu a dérivé vers un sens plus péjoratif voire négatif l’individualisme. Il ne serait donc pas correct d’être individualiste et finalement il faudrait devenir collectif, mais cela me semble contre-nature pour notre bien-être. Je considère que l'âme correspond à la philosophie de la psyché de l’individu. Pour rappel le mot « âme » définit un esprit humain doté principalement de facultés morales, le tout dans un corps, tandis que le nom « esprit » désigne les facultés intellectuelles de l'individu. L'âme est unie au corps et à la matière, l'esprit en est détaché. L'âme assure des fonctions vitales, l'esprit des fonctions mentales. Toutefois l’âme permet également le lien avec l'au-delà dans les diverses religions du monde.

     Je constate à regret de voir disparaître le mot âme dans les différents textes et écrits contemporains qui parlent plus que d’esprit. Cette dérive lexicale entraîne également un appauvrissement intellectuel de l’individu qui ne sait plus faire la différence entre les deux mots. J’ai même pu lire dans certains textes le mot mental qui semble regrouper à la fois l’esprit et l’âme, je ne citerai pas ces sources car elles rendent les mots vides de leur sens. C’est fait volontairement j’en suis convaincu, en réduisant les mots et leurs sens en affaiblit de fait leur pouvoir :

  • l’âme est lié au divin ;
  • l’esprit est lié à l’humain ;
  • le corps est lié à l’animal.

   

     A mon sens, nous sommes devenus des êtres vivants animés (doués d’âme, du latin « anima » ) à l’esprit étriqué dans un corps malade, nous avons été formatés par des dogmes de pensées abscons et obsolètes dictés par des êtres avides de pouvoir (dirigeants de tout poil, gouvernements, religions). Je suis convaincu que nous sommes des ordinateurs quantiques dont l’esprit a été piraté/hacké à cause des règles que nous avons apprises de génération en génération : « sois gentil » donc courbe l’échine (corps), « tais-toi » donc ne pense pas (esprit), « ne réponds pas » donc ne te rebelle pas (âme). Nous sommes devenus de bons petits soldats qui exécutent les ordres sans trop réfléchir. Jean-Michel Wyl l’exprime ainsi : « Chercher à comprendre, c'est commencer à désobéir ». Je serai donc un complotiste d'après ceux qui défendent la thèse du non-complot, mais pourquoi défendre une cause si elle n’existe pas. Il y existerait peut-être non pas un complot mais une certaine manipulation ? Chacun en tirera les conclusions qui lui semblent les plus probables.

     Pourquoi je suis convaincu que c’est fait volontairement ? Je le crois car l’éducation que nous recevons nous oblige à nous soumettre très tôt à l’autorité parentale, familiale, sociétale, patronale et étatique. Quelles sont véritablement nos libertés ? Elles diminuent de jour en jour sans que nous en rendions compte. La première liberté que l’on nous a ôtée est notre liberté de libre pensée - notre libre arbitre. Nous devons suivre tant de règles sans pouvoir être nous-mêmes, sans déranger parce que nous soulevons une question qui dérange, sans devoir nous conformer à la bien pensance. Nous devons courber l’échine en permanence, mais comment faire pour faire savoir qui je suis ? Je suis, la maxime du chakra racine avec deux voies différentes :

  • Je suis du verbe être qui signifie être debout dans la voie verticale, celle du combat.
  • Je suis mon maître ; Je suis du verbe suivre qui signifie être couché dans la voie horizontale, celle de la fuite. Je suis mon maître, même phrase mais pas les mêmes conséquences ;

 

      Le fait de ne pas pouvoir être nous, nous rend mal donc malades, d’ailleurs le mal à dit (maladie) que nous souffrions sans le savoir. Le corps nous avertit d’un danger que notre esprit n'a pas vu venir, c’est logique il à été piraté. Il a été programmé pour que nous soyons des bons soldats au service du grand capital.

     Aujourd'hui les lanceurs d’alerte sont taxés de complotistes. Ces individus ne pensent pas qu’à eux mais à la communauté des « décérébrés » du bon sens, ravis de faire partie d’un système qui les tue à petit feu. La philosophie de la psyché de l’individu tend à rendre à chacun de nous différentes choses qui sont indispensables au bien-être :

  • Sa capacité à retrouver son intégrité individuelle ;
  • Sa capacité à penser par soi-même et dans un premier temps pour soi-même ;
  • Sa capacité à s’élever par son esprit et ses croyances afin de s’accomplir sur un plan plus spirituel.

 

     Il me semble important de rendre à l’humanité sa capacité à penser car je trouve que ceux qui sont actuellement au pouvoir semblent prendre des décisions qui nous impliquent toutes et tous, sans se soucier des conséquences à long terme de leurs actions. Nous payons tous sans le savoir par manque de connaissance.

     La philosophie de la psyché de l’individu reprend des règles simples et applicables au quotidien, telles que :

  • Un oui sortant de notre bouche équivaut à laisser entrer en nous de façon énergétique la proposition verbale de l’autre ;
  1. Si nous sommes d’accord tout se passera bien ;
  2. Si nous sommes incapables de dire non, par peur, pour faire plaisir, pour ne pas déranger, pour se conformer à la norme équivaut à sentir dans notre corps physique le rapport forcé et contraint que nous venons de subir. Les conséquences :

                   0 Avoir le sentiment d’avoir été abusé voire violé énergétiquement par la proposition de l’autre ;

                   0 Se rendre malade en repensant à cet instant tout le temps après, en le ruminant dans notre esprit ;

                  0 Se sentir coupable d’avoir dit oui au lieu de non, sans connaître les conséquences énergétiques de                              nos choix ;

                  0 En vouloir à l’autre et espérer des excuses, qui ne viendront jamais, car l’autre n’est pas responsable                          de notre accord verbal, nous le sommes ;

                  0 Ne pas accepter dans notre esprit de s’être trompés car nous avons parfaitement réagi par rapport

                     au conditionnement acquis. Toutefois, cela entraînera une incapacité à se remettre en question,                                accentuant encore plus le malaise interne ;

                 0 Penser aux autres en premier et s’oublier au profit de la communauté bien-pensante qui sera ravie                            de notre soumission ;

  • Un non sortant de notre bouche équivaut à ne pas laisser entrer en nous de façon énergétique la proposition verbale de l’autre, cela entraînera des conséquences :
  1. Une opposition de notre interlocuteur pour rentrer parfois de force en nous, nous forçant parfois à céder car nous ne savons pas tenir nos engagements verbaux et moraux ;
  2. Se rendre malade car nous ne sommes pas sûrs de nous, et nous voudrions tellement faire plaisir finalement nous comportés comme le conditionnement acquis ;
  3. Se sentir coupable d’avoir dit non, donc aller contre l’endoctrinement acquis ;
  4. S’en vouloir de faire du mal à l’autre et vouloir s’excuser d’avoir dit non ;
  5. Ne pas accepter que notre esprit soit non conforme à la bien-pensance car nous avons réagit de façon différente du conditionnement acquis, cela entraînera une remise en question, accentuant aussi le malaise interne ;
  6. Penser à soi en premier et devenir égoïste, alors qu’il faudrait penser aux autres en premier d’après le conditionnement acquis. Nous avons aussi appris que l’ego c’est négatif, pour rappel l’ego n’est que notre instinct de survie qui tente de nous sauver de nous-même c’est-à-dire de notre esprit conditionné.

   

   Finalement nous n’avons pas le droit d’écouter notre instinct de survie dans notre cerveau viscéral (le corps), nous avons été conditionnés par l’esprit dans notre cerveau cérébral (l’esprit), nos deux cerveaux décisionnaires ne pouvant plus prendre de décisions pour notre bien-être, il ne reste que notre mental qui ne fait qu'exécuter les ordres qu’il reçoit car nous sommes incapables de penser par nous-mêmes et à nous en premier. Il nous reste quoi ? Notre cœur, siège de notre âme écrasé entre le marteau (l’esprit) et l’enclume (le corps). Totalement laminé, aussi épais qu’une feuille de papier. Nous sommes incapables d’avoir confiance en nous, nous sommes incapables de nous élever par l’esprit et de nous accomplir sur le plan divin. Nul besoin de craindre l’enfer car pour certains d’entre nous, il est ici en ce moment ,c’est notre vie quotidienne.

   Voilà ce que la philosophie de la psyché de l'individu tente d’apporter une porte de sortie, qui certes entraînera d’autres conséquences qui peuvent paraître négatives mais qui se trouve être salvatrice pour celles et ceux qui sont sur ce chemin de la rédemption et de l’accomplissement de soi. Vous avez maintenant le choix de tenter l’expérience ou de rester dans l’ignorance.


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